le commencement…
Il y a quatorze ans et j’étais en pleine mutation. Six mois plus tôt, je suis éjecté, presque de façon « karmic », dehors de ma vie de monteuse de son dans l’industrie cinématographique à Londres. Je devais retourné à ma ville de naissance dans le nord d’Angleterre pour loger avec mes parents, dont c’était une tâche difficile. Ainsi, dans ces premiers mois de 2007 je me suis échappé donc pour faire du bénévolat dans la Communauté d’Iona en Écosse. Ce serait la première étape dans un voyage une peu plus long, car au mois de mai, je prendrais le car au sud de France pour un autre travail bénévole avec les moines bouddhistes du monastère Nalanda à Lavour, et plus tard en septembre j’ai commencé à travailler avec la communauté l’arche. Mais rien ne s’est passé comme prévu.
Le coup de pied karmic lequel avait me mets dehors de Londres, et de ma vielle vie, avait pour cause une crise d’esprit, un effondrement en quelque sorte. L’écriture est donc devenue le moyen de traverser toutes ces turbulences, et à mon retour chez mes parents, j’ai commencé à écrire ma réponse à une question qui s’était posée pendant cette première phase de crise : qu’est-ce que ma véritable responsabilité ? Cette année m’a donné un voyage de réflexion, ainsi qu’un voyage dans la vie réelle. En premier, la vie difficile avec mes parents était une sorte de retour psychologique à ma vie d’enfance et le souvenir d’un enfant mal aimé. J’ai donc été pongé dans les profondeurs de ma psyché autour de cette question de savoir ce que je devais faire.
Mon voyage en 2007 sur le chemin d’une travailleuse bénévole était propice de ce projet d’écriture aussi. Avec mon première pas, j’ai eu la chance de rester quelque mois dans une communauté chrétienne libérale pendant la fête de pâque, et après avec le pas suivant, un séjour avec les bouddhistes. Tous cela m’a donné des interlocuteurs utiles pour ma réflexion. Après six mois j’ai trouvé un travail où je pouvais espérer rester plus longtemps et peut-être de maîtriser la langue française. C’était en septembre que je suis arrivé à la communauté de l’Arche en Beauvais, nord de Paris. L’Arche est une communauté basée sur les principes catholiques où les bénévoles vivent avec les jeunes handicapées pour les aider dans leur vie quotidienne. Au début j’étais bienvenue, cependant, bientôt, après la présentation des mes documents, dont l’acte de naissance, la chose se compliqua un peut. Ce geste simple, dont une présentation d’acte de naissance me dévoila transgenre et donc, sa passe pas bien du tout pour les gérants de la communauté. En bref, pas question que j’aurais peux rester et faire le travail complet d’un bénévole ; ils me disent que pour leur, c’était une question trop compliquée à tranché à ce moment-là, après un mois donc j’ai du quitter l’establishment. J’ai encore le sentiment d’un goût amer quand je le réfléchis ; l’exemple de la discrimination le plus marquant que j’ai jamais souffert était depuis les mains des chrétiens — c’est ne pas un paradoxe, c’est simplement l’hypocrisie.
C’était donc la fin de mon voyage, car je n’avais pas assez d’argent pour rester en France ; je suis donc rentré en l’Angleterre. La boucle était bouclée, j’ai terminé la première version de mes écrits et plus importante encore, j’ai découvert que j’avais quelque chose à dire.
Une fois installé j’ai eu l’occasion de sortir de la sphère restreinte de la maison de mes parents retraitée en trouvant un petit boulot. Ce n’est pas la peine de entre dans la suite ici, sauf qu’à dire que dans une certaine mesure c’était chouette que je pusse resté pas loin de mes parents pendant la dernière décennie de leurs vies. Ça me fait de bien car, dans une certaine mesure, je pouvais réparé un lien trop abîmé.
Dix années plus tard, je travaillais encore sur les idées sur laquelle j’avais écrit par main dans mon carnet et il es devenu dans quelque manière un vrai texte. Cependant je n’étais pas satisfait du résultat, non plus avec le manque de retour de le poignée des amis que j’avais invités à le lire. Pendant ce temps alors j’avais essayé travaillées ces idées dans le domaine des arts. Une de la chose qui ait toujours m’interpoler avec ce texte était le travail naïf de la philosophie de dans ; soit je dois faire la philosophie de vrai, soit je reste avec le chemin artistique, mais même avec mon essayes dans l’art, un domaine que je connais bien — en ayant une licence de « Goldsmith’s » — je trouvais que néanmoins j’ai encore besoin a travailler mes idées philosophiques encore de plus. Si je pouvais être plus claire autour de mes idées, le travail artistique serait peut-être plus pointu, plus lumineux aussi.