le master pt 2
Le texte que j’avais écrit pendant mon petit pèlerinage de bénévole en 2007 était une sorte de réflexion critique « préphénoménologique » qu’il avait abordé à la fois la problématique laquelle nous faire face et les contradictions inhérentes de la libération spirituelle, en fin d’arriver à une réinterprétation d’un des modelés cardinaux du bouddhisme : les quatre nobles vérités. Pour ma mémoire de master, j’ai essayé alors de reformuler ces propos dans le cadre philosophique.
Grâce à ce travail, j’ai découvert qu’il existe déjà une riche tradition philosophique de la phénoménologie et beaucoup des études comparatives qui a pris position diverse entre la phénoménologie et la pensée bouddhistes. Dans la mémoire j’ai fait valoir qu’il y a une forte similitude entre le processus de la réduction phénoménologique, l’épochè, chez Edumund Husserl et la praxis de la méditation bouddhiste. Même si les penseurs de la phénoménologie ne voient pas toujours un horizon transcendant, on peut contextualiser leurs travaux dans une telle cadre comme l’élaboration de l’aspect relative de l’expérience qui, à la fois, peut donner lieu à une dimension spirituelle de la transcendance. Pour moi c’est autour du bouddhisme zen où le geste comparatif semble le plus fructueux.
Ici le lien pour télécharger la mémoire.